M. Coveliers réplique encore, à pro
pos de l'exemple du demandeur d'asile rwandais cité par M. Mahoux, qu'il y a lieu de noter, d'une part, que le droit d'asile est un droit individuel et qu'u
n demandeur d'asile doit, aux termes de la Convention de Genève, démontrer qu'il fait l'objet personnellement de traitements injustes et cruels et, d'autre part, que la jurisprudence constante montre que « l'état de guerre » n'est pas en soi un motif justifiant l'octroi du statut de ré
...[+++]fugié politique.