Lorsque l'on doit effectuer un travail difficile, un travail en profondeur, on peut avoir besoin d'un article qui pourtan
t ne paraissait pas devoir être révisé à un autre moment. C'est la raison pour laquelle entre deux périls, celui d'une facilitation de la révision qui, à terme, pourrait être dangereuse, et l'immobilisme qui - j
'espère que tout le monde le comprendra dans les formations politiques, d'un côté comme de l'aut
re - pourrait à mon sens condamner ...[+++] notre pays, je choisis le risque moindre, celui de la tentative de la grande réforme grâce à l'article 195.