35. fait observer qu'en raison des retards dans tous les secteurs, l'état d'exécution financi
ère demeure bien en deçà de ce que prévoient les perspectives financières et n'excède, pas en règle générale, l'avance forfaitaire de 7 % des crédits , par conséquent, les États mem
bres et les régions seront inévitablement exposés au cours du reste de la période de programmation à des pressions accrues en termes d'absorption; constate que dans le contexte de l'application de la règle "n+2", il faut escompter une perte massive de crédits des F
...[+++]onds structurels si la capacité d'absorption des États membres se révèle insuffisante;