En tout état de cause, le groupe ad hoc a pu constater, après avoir ét
udié l'ensemble des documents, que, dans le cadre de l'opération au Rwanda, il n'y avait, ni sur le terrain, ni au quartier général de l'ONU, ni dans un
e mesure suffisante auprès des forces armées en général et auprès du SGR en particulier, une capacité d'analyse en mesure de trait
er les informations recueillies et les renseignements ainsi obtenus et de formuler,
...[+++] sur cette base, des recommandations opérationnelles.