Enfin, parce q
u’il repose sur une double hypocrisie: les parlements nationaux n’ont obtenu qu’un droit de contrôle très compliqué
à mettre en œuvre, donc peu opérant, sur le respect du principe de subsidiarité; ce pri
ncipe est un leurre puisque de nombreuses compétences de l’Union européenne, dites exclusives, sont sanctuarisées et que la définition de la subsidiarité donnée par les traités favorise de facto les pouvoirs de Bruxel
...[+++]les.