Pour ce qui est de l’existence de créances pour
des articles ayant déjà été livrés à la marine militaire et à ISAP, les autorités grecques n’ont pas prouvé, premièrement, qu’il existait effectivement de telles créances ni, deuxièmement, qu’elles étaient recouvrables ni, troisièmement, qu’elles représentaient —constamment, penda
nt toute la période couverte par le prêt- une somme suffisamment élevée que pour réduire le risque de pertes en cas de faillite
...[+++] de HSY.