Ces mesures aut
orisent la police à interpeller, à interroger, voire à arrêter des citoyens n'importe où, sans qu'aucun élément ou qu'aucun soupçon n'indique qu'ils soient impliqués dans des activités criminelles. Des personnalités politiques et des organisations de défense des libertés individuelles et civiles qualifient ces mesures de "Guantanamo britannique" et ajoutent qu'il s'agit de pratiques dignes d
es temps de guerre, déjà rejetées par le parlement et les tribunaux britanniques, même après les attentats qui ont eu lieu dans le
...[+++]métro de Londres en juillet 2005.
Politici en en organisaties die zich voor individuele en politieke vrijheden inzetten, kenmerken de maatregelen als een Brits 'Guantánamo' omdat ze aan een oorlogssituatie doen denken. Ze zijn, zelfs na de aanslagen in de metro van Londen in juli 2005, door het Britse parlement en de rechtbanken veroordeeld.