De même, les images satellite nocturnes qui nous sont mis gratuitement à dispo
sition par l’Agence européenne pour la sécurité maritime (EMSA) ne témoignent pas davantage d’un accroissement sensible des dé
versements dans nos eaux la nuit. monsieur Vollaard fait d’ailleurs remarquer dans les conclusions de son étude, que, ces dernières décennies, le nombre de déversements a sensiblement diminué tant la nuit que le jour, ce à quoi a également conclu une ana
lyse belge réalisée récemment ...[+++] sur 20 années de données de surveillance aérienne[1].