C'est précisément pour ces mêmes raisons que, dans le rapport Watson de 2001, le Parlement européen conseillait déjà à la Commission de retirer sa proposition et de la retravailler en profondeur. Le Haut Commissariat des Nations unies aux réfugiés a exprimé sur cette nouvelle version, comme il l'avait fait sur la première, ses plus vives préoccupations à l'égard des "diverses autres pratiques restrictives et sujettes à controverse, actuellement seulement énoncées dans la législation d'un ou de deux États membres mais qui pourraient être adoptées par l'ensemble des vingt-cinq États membres de l'UE".
Ook het UNHCR drukte destijds zijn ernstige bezorgdheid uit - en doet dat nu weer - over een aantal restrictieve en zeer controversiële praktijken die momenteel alleen zijn opgenomen in de nationale wetgeving van een of twee lidstaten, maar die in de wetgeving van alle 25 EU-lidstaten terecht zouden kunnen komen.