Il
y a, d'une part, le fait que le ministre des Finances a déclaré, au cours de
la discussion sur l'interdiction frappant les OPC, qu'il est pour le moins anormal que des organismes financiers soutiennent, même autrement qu'au moyen de Sicav, des entreprises qui produisent entre autres des mines antipersonnel, et, d'autre
part, le fait que la Belgique a adopté, par la voix de son secrétaire d'État aux Affaires européennes, à la conférence de Nairobi sur l'interdiction des mines antipersonnel,
...[+++]qui s'est tenue aux mois de novembre et décembre derniers, une position qui ne laisse aucune place à l'équivoque.