M. Jourdan (Le licenciement abusif de l'ouvrier: évolution récente, Or. 1992, p. 61 à 69) conteste l'affirmation selon laquelle même la faute la plus légère ôte au licenciement auquel elle a donné lieu son caractère arbitraire: « Se pose ici le problème de l'adéquation: moindre faute du travailleur = licenciement non abusif, qui verrait resurgir le mythe du travailleur parfait, seul susceptible de percevoir, outre l'indemnité de rupture, une indemnité pour licenciement abusif » (voir aussi Bodson, J.C.
M. Jourdan (Le licenciement abusif de l'ouvrier : évolution récente, Or. 1992,61 e.v. 69) stelt vragen bij de stelling dat zelfs de lichtste fout aan het ontslag, dat erop gegrond is, het karakter van willekeurig ontslag zou ontnemen : « Se pose ici le problème de l'adéquation : moindre faute du travailleur = licenciement non abusif, qui verrait resurgir le mythe du travailleur parfait, seul susceptible de percevoir, outre l'indemnité de rupture, une indemnité pour licenciement abusif » (zie ook Bodson, J.C.