Force est donc de constater que dans les cantons où il n'y a pas de facilités, les partis francophones obtiennent beaucoup plus de voix lorsqu'ils se présentent sur des listes distinctes, ce qui veut dire qu'il y est beaucoup moins question d'« intégration électorale ».
De conclusie is dus dat, indien de Franstalige partijen apart opkomen in kantons waar geen faciliteiten gelden, zij veel meer stemmen halen en er dus veel minder zogenaamde « electorale integratie » is.