Sur la base de l'article susmentionné, l'administration fiscale belge i
mpose des résidents français qui travaillent certes en Belgique pour un employeur établi dans la zone frontalière mais exercent en réalité leur activité (par exemple sur des chantiers) plus de 45 jours en dehors de cette zone frontalière, et ce en tant que non-résidents en Belgique. 1. Comment la notion de «travailler dans l
a zone frontalière» doit-elle être interprétée: s'agit-il du lieu où le travailleur reçoit ses instructions ( le siège de l'entreprise, par ex
...[+++]emple) ou du lieu où les instructions sont exécutées (les chantiers, par exemple)?