En juillet 2000, sur la base d
’une proposition du gouvernement grec, par l’intermédiaire du ministre des affaires étrangères de l’époque, Georgios Papandreou, qui en a également
été l’instigateur, nous avons assuré la sauvegarde de la trêve olympique sur le plan institutionnel grâce à la création, par le Comité olympique international et le gouvernement
grec, du Centre international pour la trêve olympique et de la Fondation internationale de la trêve olympique. Ceux-ci servent de plate-forme
...[+++]au débat, dans l’objectif de résoudre les conflits, d’instaurer une culture de paix à travers le sport et l’idéal olympique et d’encourager les peuples, en particulier les jeunes, à agir.