Or, la situation créée à la suite du rejet de la loi anticorruption par le sénat roumain, le 9 février, et les allégations des médias internationaux selon lesquelles le gouvernement roumain soutiendrait certains groupes d’intérêt qui bénéficieraient d’avantages financiers dans le cadre de cet arrangement, suscitent des doutes quant à l’état de préparation du pays à l’ultime et décisive étape du processus d’adhésion.
Op 9 februari, evenwel, heeft de Roemeense Senaat het voorstel voor een anti-corruptiewet verworpen, terwijl uit berichten in de internationale media blijkt dat de Roemeense regering bepaalde belangengroepen ondersteunt, die financieel belang hebben bij deze stand van zaken.