Les auteurs de l'amendement déclarent qu'un impôt sur la fortune appliqué aux patrimoines mobiliers ne frappera pas, dans les circonstances actuelles, les grandes fortunes, mais bien les classes inférieures et les classes moyennes (cf. « Quand on dit qu'on va faire payer les riches, il faut que les pauvres tremblent »).
De indieners van het amendement verklaren dat een vermogensbelasting op de roerende vermogens onder de huidige omstandigheden niet door de grote fortuinen zal worden gedragen, maar door de lagere- en middenklasse (cf. Quand on dit qu'on va faire payer les riches, il faut que les pauvres tremblent).