Le rapport concluait que les femmes, quel
que soit le secteur concerné, étaient sous-représentées, qu'un premier objectif devrait être d'atteindre un minimum de 30% de femmes à tous les niveaux de pouvoir et de décision, qu'un manque de concepts communs et des problèmes de données
étaient visibles pour les commissions dont les membres
étaient désignés de manière officielle, les délégations auprès des organisations internationales nommées par les gouvernements et les candidats aux élections, et que de plus amples études
étaient nécessaires avant de pouvoir
...[+++] établir des principes régissant la collecte de données sur ces sujets.