C. Van Schoubroeck, professeur au centre Science de l'assurance de la KULeuven, dénonce le problème et pose à juste titre les questions suivantes: « Notre société accepte-t-elle donc encore que l'assuré et la personne lésée (le plus souvent conjointement avec leurs familles respectives) soient exposés à des actes intentionnels dont l'auteur n'a jamais souhaité concrètement les conséquences (prévisibles), même si le dommage pour la victime était « prévisible » en théorie ou dans l'abstrait ?
C. Van Schoubroeck, hoofddocent KULeuven, centrum Verzekeringswetenschap, legt de vinger op de wonde en stelt terecht de volgende vragen hieromtrent : « Aanvaardt onze samenleving dan nog dat verzekerde en benadeelde (veelal met hun respectieve gezinnen) blootgesteld worden aan opzettelijke daden waarvan de dader in concreto nooit de (voorzienbare) gevolgen gewild heeft, ook al was de schade van het slachtoffer « voorzienbaar » in theorie of abstracto ?