(65) Dans son arrêt Odièvre c. France, précité, la Cour européenne des droits de l'homme rappelle aussi que « la problématique de l'accouchement anonyme ne saurait se poser sans que la question de la protection des tiers, essentiellement les parents adoptifs et le père ou le restant de la famille biologique, ne soit soulevée » (§ 44; voir aussi le paragraphe 49, in fine).
(65) In het voornoemde arrest Odièvre t. Frankrijk, van het Europees Hof voor de rechten van de mens, wordt ook het volgende gesteld : « la problématique de l'accouchement anonyme ne saurait se poser sans que la question de la protection des tiers, essentiellement les parents adoptifs et le père ou le restant de la famille biologique, ne soit soulevée » (§ 44; zie eveneens paragraaf 49, in fine).