L'alternative est donc claire : soit la législation n'intervient pas et laisse à « l'hypocrisie du silence » le soin de régler les situations extrêmes avec tous les risques que cela comporte au niveau des déviations éventuelles qui pourraient se produire ou la législation encadre avec précision cette demande d'interruption de vie afin précisément d'éviter tout excès, tout abus, toute déviation.
De keuze is dus duidelijk : ofwel blijft de wetgever aan de kant en laat hij toe dat extreme gevallen worden geregeld onder de « hypocrisie van de stilte » met alle risico's wat betreft eventuele ontsporingen ofwel stelt de wetgever nauwkeurige voorwaarden aan dit verzoek om levensbeëindiging, precies om excessen, misbruiken en ontsporingen te voorkomen.