C’est la raison pour laquelle
je demande que ces langues soient dûment introduites et gérées dans le cadre des services externes à la jeunesse, et qu’elles
soient enseignées dans nos écoles, en tant qu’atout commun et que deuxièmes, troisièmes ou quatrièmes langues, parce que ces langues, comme nos relations avec le Brésil le montrent clairement, renforcent notre capacité européenne à avoir des relations étroites partout dans l
e monde: à discuter davantage avec les autres, à partager vraiment,
...[+++] à faire partie du même club.