Il continue à défendre le droit de res
ter maître dans son propre pays, le droit de demander aux étrangers de respecter nos lois, notre langue et notre culture, le dro
it de renvoyer dans leur pays les personnes qui ont abusé de la procédure d'asile, ainsi que les illégaux et les criminels, et, enfin, le droit, comme n'importe quel
pays du monde, de mettre en oeuvre, dans les domaines où cela s'avère utile et nécessaire, une politique « pour notre peuple d'abord », fondée su
...[+++]r le critère de la nationalité et ce, dans le respect, bien entendu, des traités internationaux.