en janvier 1998, la troisième phase de l'Union économique et monétaire doit, en principe, être mise en route, avec le choix des parités entre les monnaies nationales et l'euro et la sélection par le Conseil du premier groupe de participants; les risques majeurs de spéculation et le rejet de
certains pays à ce moment (quel sera le sort de la Belgique dans ce contexte ?) créeront un climat agité, peu propice aux compromis; par ailleurs, des changements de calendrier, voire des critères
de convergence (qui seraient inuti ...[+++]les) pour l'introduction de la monnaie unique ne paraissent pas exclus;