le Royaume-Uni s'en tient fermement
et entièrement à la position qu'il a exposée dans son document relatif aux obligations internationales ; en outre, il semble que cette position ne saurait être considérée comme un point de départ pour d'éventuelles négociations ; d'a
utres Etats membres seraient disposés à accepter, notamment, les droits acquis applicables aux obligations anciennes, ce qui n'est pas suffisant aux yeux de la délégation du Royaume-Uni, laquelle insiste sur le fait que toutes les exonérations énumérées dans son docume
...[+++]nt doivent être acceptées ;