Selon M. Dhonte, sous-directeur du FMI à l'époque, la raison pour laquelle le FMI n'a décidé qu'en 2002 d'ouvrir une représentation à Bruxelles réside dans le fait que l'organisation, contrairement à la Banque mondiale, n'a pas une culture des représentations à l'étranger, mais que la nécessité s'est fait sentir de pouvoir entretenir des contacts directs avec l'Union européenne dans le cadre de l'élargissement de celle-ci.
Volgens de heer Dhonte, toenmalig onderdirecteur bij het IMF, was de reden waarom het IMF pas in 2002 besliste een vestiging in Brussel te openen dat er binnen de organisatie, in tegenstelling tot de Wereldbank, geen cultuur van buitenlandse vertegenwoordigingen bestaat, maar dat het noodzakelijk werd om directe contacten met de EU te kunnen onderhouden, met name in het licht van de uitbreiding van de Unie.