Le scénario est sur la table au vu et au su de tout le monde car l'encre des propositions de loi était à peine sec et les avis du Conseil d'État à peine rendus que nous avons vu les quatre présidents des partis francophones exhiber l'accord politique du 19 septembre baptisé « accords de la Sainte-Émilie ». Il s'agit d'un instrument de la soif de pouvoir francophone, de la suprématie francophone à Bruxelles, que Paul Magnette a traduit par « Nous avons voulu des liens extrêmement forts entre Wallons et Bruxellois ».
Paul Magnette verwoordde het zo: " Nous avons voulu des liens extrêmement forts entre Wallons et Bruxellois" .