Avec l'arrivée de la Chine et le retour des États-Unis, qui rejoignent ainsi l'UE, le Canada, le Japon et la Russie dans les négociations sur l'ITER, les pays les plus industrialisés et les plus développés du monde, qui représentent plus d'un tiers de la population du globe, ont montré l'intérêt qu'ils portent au développement de l'énergie de fusion.
Met de toetreding van China en de VS tot het ITER-overleg met de EU, Canada, Japan en Rusland, hebben de grootste geïndustrialiseerde en ontwikkelingslanden, waarin samen meer dan een derde van de wereldbevolking leeft, hun belangstelling getoond voor de daadwerkelijke ontwikkeling van fusie-energie.