Le membre note qu'au cours des dernières années, il a toujours entendu de
ux sons de cloche : pendant que les Flamands parlaient d'affinage de la démocratie, de citoyenneté européenne, etc., les francophones ten
aient un tout autre discours, puisqu'ils clamaient haut et fort, dès vant la ratification du Traité de Maastricht, que l'octroi du droit de vote aux Européens était une aubaine, parce qu'il ne pourrait que consolider les positions francophones à Bruxelles et dans la périphérie bruxellois
...[+++]e.