Au cours des discussions, on est allé très loin en ce qui concerne la protection des dénonciateurs d'abus et les possibilités procédurales dont ils peuvent bénéficier, et ce, en s'inspirant de la législation américaine qui accorde, dans certains cas, aux informateurs, une partie des fonds qui ont été récupérés grâce à eux (voir le Rapport du Comité spécial chargé de négocier une convention contre la corruption sur les travaux de ses première à septième sessions, A/58/422, 7 octobre 2003, nº 42).
Tijdens de besprekingen werd wat betreft de bescherming en proceduremogelijkheden van « whistleblowers » zeer ver gegaan, en dit gebaseerd op de wetgeving in de VS, die in bepaalde gevallen de klokkenluider een deel van het door zijn toedoen gerecupereerde geld toekent (zie het Report of the Ad Hoc Committee for the Negotiation of a Convention against Corruption on the work of its first to seventh sessions, A/58/422, 7 oktober 2003, nr. 42)