Le
nœud du problème, à notre avis, et celui donc sur lequel cette Assemblée doit se pencher, consiste à savoir si l’accord positif conclu entre le nord et le sud du pays, entre Ali Osman Taha et John Garang, peut être con
sidéré comme un bon présage et exercer ainsi une influence positive sur le conflit au Darfour, ou si, au contraire, la commun
auté internationale court le risque de voir le problème non résolu au Darfour déstabilise
...[+++]r l’accord de paix Nord-Sud.