Ian Martin, le chef de la mission des Nations unies au Timor oriental (UNAMET), qui a contribué à la sécession en 1999 et qui a récemment été l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU à Díli, a expliqué avant-hier que l’essentiel n’était pas de savoir si le Timor oriental était un État raté; pour lui, l’important était que ce pays existe depuis quatre ans et qu’il apprend à gérer le poids des responsabilités découlant de l’indépendance et à relever les défis inhérents à un système démocratique.
Ian Martin, hoofd van UNAMET, de VN-missie in Oost-Timor, heeft in 1999 meegewerkt aan de totstandkoming van de staat Oost-Timor en bekleedt sinds enige tijd de functie van gezant van de secretaris-generaal van de VN.