Des éléments récents révèlent que davantage de consommateurs souhaitent désormais faire des achats transfrontières (52 %, +19) et sont disposés à dépenser plus d’argent à l’étranger (18 %, +5) qu’en 2006, lorsque la directive n’avait pas encore été transposée dans les États membres[135]. Il faut néanmoins reconnaître que la croissance des achats transfrontières en ligne accuse un grand retard sur la croissance interne, ce qui indique clairement que beaucoup reste encore à faire[136]. C’est pourquoi la priorité doit désormais être accordée à l’application correcte et cohérente de la directive, faute de quoi les citoyens et les entreprises de l’Union ne pourront pas profiter pleinement des possibilités offertes par le marché unique.
Uit recente informatie blijkt dat nu meer consumenten belangstelling hebben om grensoverschrijdende aankopen te doen (52 %, +19) en bereid zijn meer geld grensoverschrijdend te besteden (18 %, +5) dan in 2006, toen de richtlijn nog niet in de lidstaten was omgezet[135]. Niettemin moet worden erkend dat de groei in online grensoverschrijdend winkelen ver achterblijft bij de binnenlandse groei, dus het is duidelijk dat er meer moet worden gedaan[136].