Certaines organisations, comme le CIRE, Coordination et Initiatives pour les Réfugiés et Étrangers, mettent en doute le fait que la Turquie soit un pays tiers sûr conforme à ce qui est exigé dans la convention de Genève sur les réfugiés, compte tenu de ses atteintes aux droits de l'homme, notamment dans sa lutte qui l'oppose à ses populations kurdes.
Sommige organisaties, waaronder CIRÉ (Coordination et Initiatives pour Réfugiés et Étrangers), betwijfelen of Turkije een veilig derde land is zoals bepaald in het Vluchtelingenverdrag, gelet op de schendingen van de mensenrechten waaraan het land zich schuldig maakt, onder meer in de strijd tegen de Koerden op zijn grondgebied.