Les victimes identifiées ou présumées les plus nombreuses au cours des trois années de référence étaient originaires des États membres de l’Union (61 %), suivies par des victimes originaires d’Afrique (14 %), d’Asie (6 %) et d’Amérique latine (5 %).
De meeste geïdentificeerde en vermoedelijke slachtoffers over de drie referentiejaren zijn afkomstig uit EU‑lidstaten (61%), gevolgd door Afrika (14%), Azië (6%) en Latijns‑Amerika (5%).