Comme remarque préliminaire, je souhaite rappeler que le fait que les six pays concernés ainsi
que l'organisation régionale en question ne font plus partie des pays partenaires de la coopération bilatérale directe, n'exclut t
outefois pas qu'ils puissent être pris en compte, le cas échéant, pour un certain nombre d'autres canaux de la coopération au développement, tels que par exemple, l'aide d'urgence, les initiatives prises en matière de prévention des conflits, la coopération multilatérale ou les initiatives de coopération indirecte
...[+++].