Avec tout le respect que je vous dois, il me faut toutefois signaler que, compte tenu du sentiment qui
prévaut ce matin au sein du Parlement à propos de l’urgence d’un accord
sur le financement futur, je ne suis pas entièrement convaincu que soulever cette question avec nos
collègues de Paris puisse, à ce moment précis, être considéré comme la contribution la plus constructive que la présidence britannique pourrait apporter en vue
...[+++]de dégager un accord sur les futures perspectives financières.