Alors qu'une réponse efficace à la crise supposerait une injection massive de moyens nouveaux, la Banque mondiale a dû réagir en utilisant les crédits et les dispositifs existants. En outre, alors même que, dans les faits, les pays très pauvres sont nombreux à être mis gravement en
danger par la crise financière internationale, il est peu probable que ceux-ci accèdent à une aide – que ce soit du FMI ou de la Banque mondiale –, puisqu'ils ne peuvent satisf
aire aux conditions requises en termes de solvabilité de
l'emprunt ...[+++]eur et de solidité de leurs performances.
Bovendien maken veel van de zeer arme landen, hoewel uitgerekend deze landen ernstig door de internationale financiële crisis worden bedreigd, weinig kans op steun van het IMF of de Wereldbank, aangezien zij niet kunnen voldoen aan de vereisten van kredietwaardigheid en het kunnen aantonen van "goede prestaties".