A
u début des soins palliatifs, dans le Luxembourg, notre souhait
était que les soins palliatifs soient « biodégradables », c'est-à-dire qu'ils soient amenés à disparaître, qu'il ne faille pas
avoir énormément de structures devant toujours rester en place, mais plutôt un minimum d'entre elles, et que ce soient vraiment les soignants de
première ...[+++]ligne qui puissent bénéficier de cette aide-là.