» Le président de la Cour internationale de justice, M. Guillaume, a encore écrit ce qui suit à l'occasion de l'arrêt Yerodia : « Contrairement à ce que préconise une partie de la doctrine, une telle évolution marquerait non une progression, mais une régression du droit» (2).
, aldus de heer Bossuyt. De voorzitter van het Internationaal Gerechtshof, de heer Guillaume, schreef naar aanleiding van het Yerodia-arrest nog het volgende : « Contrairement à ce que préconise une partie de la doctrine, une telle évolution marquerait non une progression, mais une régression du droit» (2).