Très récemment encore, la presse s'est faite l'écho des griefs
de l'administrateur général de la Sûreté de l'État, qui considérait en substance que les e
nquêtes de contrôle étaient trop nombreuses (principalement celles résultant de plaintes d'agent du service) et que partant, elles contribuaient à exacerber les tensions internes, à induire un climat de malaise et une atmosphère de méfiance, à déstabiliser la hiérarchie de l'institution, enfin à nuire aux relations de la Sûreté de l'État avec des servic
es de renseignement ...[+++]tiers.