Les études d'impact étrangères ont un point commun en ce qu'elles font un amalgame de tout (elles examinent l'impact de l'interdiction de fumer indistinctement dans les restaurants et les cafés, demandent à des non-fumeurs qui n'éprouvent nul besoin d'aller dans les cafés s'ils ont des objections contre le fait que l'on fume dans les cafés, et c.), ne tiennent aucun compte de la culture des cafés propre à la Belgique ni surtout des limites que rencontrent les cafés belges pour installer des fumoirs, des terrasses, etc. et, enfin, se contredisent totalement.
Buitenlandse impactstudies hebben één ding gemeen : ze gooien alles op een hoop (impact rookverbod op restaurants en café's door elkaar, niet rokers die helemaal geen behoefte hebben aan cafébezoek vragen of ze het erg vinden dat er gerookt wordt op café, ...), zij houden geen rekening met de typische Belgische cafécultuur en vooral de beperkingen van Belgische café's tot installeren rookkamers, terras, .en tot slot spreken ze elkaar allemaal tegen.