Cette pensée d’un philosophe chinois est pertinente dans ce débat, si l’on considère que le président Obama s’est vu attribuer le prix Nobel de la paix en dépit du fait qu’il ait dénoncé la couverture télévisuelle défavorable dont il avait fait l’objet. Et nous voici aujourd’hui en train de débattre d’allégations de manque de liberté motivées par un seul et unique objet: la culture de la haine à l’encontre de M. Berlusconi.
Deze spreuk van een Chinese wijsgeer is op dit debat van toepassing, als we bedenken dat Obama de Nobelprijs wint ofschoon hij vijandige televisieberichtgeving bekritiseert. Hier zijn we aan het debatteren over een zogenaamd gebrek aan vrijheid waarvoor slechts één reden is: de cultuur van haat tegen Berlusconi.