Étonnant lorsqu'on sait que la traite des êtres humains repose en partie sur le trafic de faux visas. Étonnant aussi lorsqu'on voit que la problématique des visas est largement évoquée dans ce rapport par le premier ministre - dans les pages 12, 17 et 18 -, par le ministre de l'Intérieur - pages 33, 34 et 37 - et par le ministre de la Justice.
Bovendien blijkt uit het verslag, dat de eerste minister en de ministers van Binnenlandse Zaken en Justitie, daar tijdens hun ondervragingen uitvoerig op ingegaan zijn.