Jusqu'à présent, la police fédérale n'a licencié aucun employé pour des faits de radicalisme ou des
faits présentant un lien avec le milieu radial parce que: - il n'y a jusqu'à présent aucune décision définitive (jugement ou arrêt) d'une autorité judiciaire dans ce domaine qui a été transmise à une autorité disciplinaire compétente; - il n'y a pas de soupçon sérieux en soi, d
ans chaque cas, qui peut mener directement à un renvoi (ni statutaire ni disciplinaire, sans une procédure qui est basée sur des faits avéré
...[+++]s et reconnus); - le simple soupçon de radicalisation ou de fréquentation du milieu doit toujours faire l'objet d'un rapport confidentiel destiné aux autorités judiciaires et qui, dans le cas d'une suspension provisoire par mesure d'ordre, sert à confirmer officiellement ce soupçon.