De blauwdruk wordt onderbouwd door een grote hoeveelheid informatie en tal van analysen, waaronder het verslag over de waterstaat van het Europees Milieuagentschap (EMA)[2], de evaluatie van de stroomgebiedbeheersplannen van de lidstaten en de toetsing van het beleid inzake waterschaarste en droogte[3] door de Commis
sie, en de 'fitness check' van het zoetwaterbeleid van de EU.[4] Bovendien gaat de blauwdruk vergezeld van een effectbeoordeling[5]. Bij de ontwikkeling van de blauwdruk en in het kader van de 'fitness check' zijn uitgebreide openbare raadplegingen gehouden onder het publiek, de belanghebbenden, de lidstaten alsook onder de i
...[+++]nstellingen en organen van de EU[6].Le plan d'action repose sur un grand nombre d'informations et d'analyses, dont le rapport de l'Agence européenne pour l'environnement sur l'état des eaux en Europe[2], l'évaluation par la Commission des plans de gestion des bassins hydrographiques des États membres (PGBH), le réexamen de la politique relative à la rareté de l'eau et à la sécheresse[3], et le bilan de qualité de la politique de l'UE en ce qui concerne l'eau douce[4]. De plus, il est accompag
né d'une analyse d'impact[5]. Le plan d'action est le fruit de vastes consultations publiques menées au cours de son élaboration et dans le cadre du bilan de qualité auxquelles ont par
...[+++]ticipé le grand public, les parties prenantes, les États membres et d'autres institutions et agences de l'UE[6]. Le plan d'action reconnaît que les environnements aquatiques diffèrent très largement dans l'Union européenne et partant, conformément au principe de subsidiarité, il ne propose pas une solution unique pour tous.