Ook bijvoorbeeld een voorstel uit 1910 waarbij men voorstelde dat een aantal leden van de Waalse werkrechtersbanken — de voorlopers van de arbeidsrechtbanken — het Nederlands zouden begrijpen, stootte op zware kritiek. minister van werk Hubert stelde : « S'ils veulent travailler en pays wallon, ils n'ont qu'à apprendre la langue».
Une proposition de 1910, par exemple, qui prévoyait l'obligation qu'un nombre déterminé de membres des juridictions wallonnes du travail — ancêtres des tribunaux du travail — comprennent le néerlandais, se heurta, elle aussi, à de virulentes critiques. À l'époque, le ministre du Travail, M. Hubert, déclara: « S'ils veulent travailler en pays wallon, ils n'ont qu'à apprendre la langue».