Traditioneel staan twee stellingen tegenover elkaar in het debat over de hervorming van de Commissie: enerzijds de stelling die pleit voor minstens één commissaris per lidstaat, met als argument dat de Commissie een politiek orgaan is en bijgevolg representatief moet zijn samengesteld; anderzijds de stelling die het aantal commissarissen wil begrenzen tot een redelijk maximumaantal, gelet op de vereisten van doelmatigheid in de werking van de Commissie en de wenselijkheid om de band met de nationale lidstaten te breken.
Traditionnellement, deux points de vue s'opposent dans le débat sur la réforme de la Commission: d'une part, le point de vue qui préconise au moins un commissaire par Etat membre et qui est basé sur l'argument selon lequel la Commission est un organisme politique et doit, de ce fait, être composée d'une façon représentative; d'autre part, le point de vue préconisant une limitation du nombre de commissaires à un maximum raisonnable, eu égard aux exigences d'efficacité de fonctionnement de la Commission et au fait qu'il est souhaitable de rompre le lien avec les Etats membres nationaux.