Volgens de Leuvense hoogleraar Blanpain (in Ter Zake van 26 januari 2000) ontlopen de vakbonden doelbewust hun verantwoordelijkheid en bezitten ze « weinig transparantie en democratische legitimering, hun leiders worden niet verkozen, de leden hebben geen inspraak, het is een clubje dat zichzelf coöpteert »; daarom pleit hij al veertig jaar krachtig voor volledige rechtspersoonlijkheid en wijt hij het uitblijven daarvan enkel aan « partijpolitieke bindingen ».
Selon le professeur Blanpain, de la KUL, (interviewé dans le cadre du magazine Ter Zake le 26 janvier 2000), « les organisations syndicales se soustraient sciemment à leurs responsabilités, sont peu transparentes et ont peu de légitimité démocratique, leurs dirigeants ne sont pas élus, les affiliés n'ont pas voix au chapitre, il s'agit d'un petit club qui se coopte »; c'est pourquoi, il plaide depuis quarante ans déjà avec force pour que l'on confère à ces organisations une personnalité juridique à part entière et il attribue le fait que celle-ci ne leur ait pas encore été conférée exclusivement à l'existence de « liens partisans ».