En ce qui concerne les dotations personnelles, outre celles a
ccordées à la Reine Fabiola et au Prince Philippe, on relèvera celles attribuées à la Princesse Astrid et au Prince Laurent par les lois des 7 mai 2000 et 13 n
ovembre 2001 et ce, moins sur la base d'une logique constitutionnelle — il était déjà clair, à cette époque, qu'aucun des deux ne serait jamais appelé à régner — que dans un souci d'égalité entre les enfants de l'actuel chef de l'État, Albert II, qui était déjà notre souverain à l'époque. Ces dotations ne sont donc nul
...[+++]lement justifiées par la fonction officielle de représentation de la Monarchie, mais bien — et exclusivement — par la situation privée de la Famille royale.