Il me revient que les chambres fiscales des tribunaux de première instance sont progressivement
submergées, au sens figuré mais aussi littéral, par une avalanche dévastatrice de contestations fiscales dans le secteur des contributions directes, d'une part parce que le filtre administratif serait encore insuffisant et parce que, sur de nombreuses questions de principe, des directives générales n'auraient toujours pas été promulguées à l'échelon national, et d'autre part parce qu'en raison de multiples tracasseries administratives, les décisions directoriales ne sont toujours pas, dans la plupart des cas, prises dans le délai recommandé de
...[+++] six mois.